On chemine dans un canyon étroit et puis, voilà l’oasis d’Essendilène. Inhabitée désormais. Buissons xérophiles, palmiers et lauriers roses gagnent à leur présence soudaine une qualité singulière. On poursuit vers les gueltas, les points d’eau pérennes du désert. Les Touaregs sont familiers de ces lieux favorables à eux-mêmes, à leurs dromadaires, leurs ânes, leurs chèvres. La vie passe par là. Après la grande aridité, l’eau et la végétation sont merveilleuses et expliquent bien des aspects des civilisations que le désert challenge. Un voyage à Essendilène, dans le tassili n’Ajjer, rappelle bien
sûr un roman de Roger Frison-Roche (et la fameuse aiguille pointe toujours, un peu incertaine, vers le ciel blanc) mais le miracle de l’eau subjugue.

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