Idée voyage 100% personnalisable
Éthiopie - Addis Abeba - vallée du Rift - montagnes du Bale
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
À l’arrivée, accueil en anglais et aide aux formalités. Transfert dans le cercle diplomatique. Votre chambre est immédiatement disponible. L’établissement moderne qui vous accueille affiche un certain décorum. Une ambition de standing, qui s’exprime tant dans les parties communes que dans le particulier. Les installations procurent un confort actuel. La salle de gym est l’une des mieux équipées d’Addis Abeba. Et le sauna, une ressource après le vol.
Au programme - Addis, les incontournables. En compagnie d’un guide anglophone privé, on visite les monuments éminents de la capitale, à l'instar de la cathédrale orthodoxe éthiopienne de la Sainte-Trinité. Cette église, construite en 1942, abrite le tombeau de l’empereur Haïlé Sélassié – ainsi que (étant aussi un mémorial de la lutte contre l’Italie fasciste) celui de la suffragette révolutionnaire Sylvia Pankhurst. Le musée national d’Éthiopie expose les restes de Lucy, australopithèque afarensis, découverts en 1974 au bord de l’Awash. L’ensemble des collections constituant une bonne introduction à l’histoire et aux cultures du pays. Le merkato est le plus grand marché d’Afrique : couleurs, saveurs, textures en gros et en détail. Labyrinthique. Et depuis Entoto, la colline plantée d’eucalyptus et de monastères, on a une très belle vue sur la capitale.
En option - Un guide francophone pour ces incontournables.
Prise de contact avec le guide francophone et le chauffeur qui vous accompagneront pour la suite du voyage. Route pour la vallée du Rift.
Prévue en chemin - La visite du site archéologique de Tiya. Classé au patrimoine mondial, c’est un champ funéraire des XIIe-XIIIe siècles, marqué de remarquables stèles sculptées. Si les motifs sont sibyllins, ils sont d’un travail ferme et assuré. Néanmoins, partout, les stèles font mémoire.
Poursuite de la route vers le lac Langano où l'on pose ses valises pour deux nuits au bord du lac, parmi les acacias. Les installations sont simples, mais confortables et bien tenues. La maison est animée avec gentillesse. Votre chambre ne vous laisse manquer de rien d’essentiel. Le chef est attentif à ses ingrédients et sait son cookbook. Bon tour de main aussi sur la table de massage. Surtout, on est ici en phase avec une belle nature. Le soir, on redécouvre l’ampleur et la limpidité fourmillante du ciel étoilé. Dans la journée, on peut voir un tantale ibis ou un calao à joues argentées, un pygargue vocifer ou un canard souchet. Ou une patrouille d’hippopotames.
Au programme - Le parc national Abijatta-Shalla. Hormis ses deux lacs de soude et ses sources chaudes, le parc, qui présente des aspects très variés, est connu pour ses acacias : faux-gommier, gommier blanc, gommier rouge et autres. Pour son avifaune aussi. Les autruches d’Afrique et de Somalie s’y reproduisent. Le flamant rose comme le flamant nain se plaisent en ces parages. Le pélican blanc est sélectif : c’est le Shalla, exclusivement. L’ibis caronculé est grégaire et méthodique : lorsqu’il attaque une zone de nourrissage, pas grand-chose de ce que peut saisir son bec ne lui échappe. Etc. En ce qui concerne les mammifères, on doit déplorer la raréfaction du bubale de Swayne. Par contre, la présence de la gazelle de Grant, qui est un charme, est une excellente nouvelle. L’hyène tachetée ne concourt pas parmi les gracieuses. Elle est taillée pour son austère boulot. Quant au rat roussard d’Abyssinie, il retient peu l’attention. Pourtant, il a une bonne bouille.
Route pour le Bale. Installation pour deux nuits dans une échancrure de la cloud forest d’Harenna. Un édifice principal, qui enserre un grand tukul (construction circulaire à toit de chaume), est prolongé en arc de cercle par quelques bungalows. Tout cela en pierre grise locale. Situation, architecture, il s’est agi de ne pas dénaturer le site. D’ailleurs, le fonctionnement du lodge est, en bonne logique, responsable. Les chambres sont tout à fait confortables et agréables. Bien ouvertes aussi sur le splendide paysage de bois et de montagne. Artisans et artistes éthiopiens ont donné à la maison son cachet. La cuisine est simple, mais savoureuse.
Au programme - Randonnée dans le parc national. Tout proches du lodge, on trouve des chemins praticables et balisés, qui engagent à un premier contact avec ce milieu naturel d’exception – faune et flore. Les chances d’observer le vervet des montagnes du Bale sont très réelles. Ce singe endémique se nourrit paisiblement de bambous. Il est farouche néanmoins, on l’approche donc avec discrétion.
Au programme - Le plateau de Sanetti. Ce plateau d’une altitude moyenne de 4000 mètres est une composante du parc national. Le Batu, point culminant des montagnes du Bale, s’y trouve. Les landes montagnardes sont une opportunité d’apercevoir l’élusif (et rarissime désormais) loup d’Abyssinie, à la recherche de sa proie de prédilection, le rat-taupe géant Tachyoryctes macrocephalus. Au bord sud du plateau, un escarpement spectaculaire voit l’altitude chuter de mille mètres, avant de diminuer avec moins de raideur. La sortie passe aussi par la ceinture de bruyères, entre la lande et la forêt d’Harenna, l’une des dernières formations de type nébuleux en Éthiopie. Les nappes de brume, le haut degré d’humidité, les formes étranges et encombrantes de la végétation épiphyte composent une atmosphère singulière. Dans ce milieu dense vit une créature mastoc et timide : l’hylochère. Et le caféier sauvage. En conséquence de cette variété, la journée vous procure des émotions contrastées et le sentiment de changer plusieurs fois de monde.
Route pour Awassa. Nuit au bord du lac. Ce contexte est toujours favorable au calme et à la relaxation. L’établissement moderne est très convenablement équipé. On y trouve piscine extérieure, salle de gym, bain de vapeur. Des soins spa et des massages sont proposés aux voyageurs. Votre chambre ouvre sur le panorama lacustre ; elle est bien équipée et confortable. Déco éthiopienne sans folklore de convention. Le restaurant sert une cuisine éthio-internationale pro.
Au programme - Navigation sur le lac Awassa. En compagnie d’un guide anglophone privé, on embarque dans un petit bateau bien adapté et maniable. Et on part à la rencontre des big shots de ces eaux : les hippopotames. La balade permet aussi de réaliser l’ampleur du lac et d’en comprendre l’importance économique. Le poisson étant la principale ressource d’Awassa. Les barques vont et viennent, apportant les prises au marché. D’ailleurs, c’est là que vous abordez, au milieu des casiers de perches du Nil, de tilapias ou de grands silures. Dans le tohu-bohu des interjections et des négociations.
Route pour Arba Minch. Nuit à la jonction des lacs Abaya et Chamo, un peu dans les terres. Vous bénéficiez ici de conditions équivalant à celles de la veille.
Au programme - Chencha, village Dorzé, en privé. Les Dorzé du Gamo sont désormais tisserands. Ce qu’ils font sur leurs métiers est brillamment coloré et de fort belle facture. Les échoppes des vendeurs en ont une allure charmante. Chencha est un centre Dorzé. On y voit encore des tukuls traditionnels faits de bambou et de torchis, dont la silhouette régulière d’ogive rappelle celle des pains de sucre. Cette forme de base étant combinée de diverses manières, sans perte d’équilibre. Un guide particulier permet d’échanger sur le monde tel qu’il va avec les personnes que l'on rencontre.
Route pour Turmi. Installation pour deux nuits dans le village proche de Kanya. L’hôtel est sympathique. Il offre un confort nominal, mais réel. Les chambres sont aménagées dans l’édifice central. Ou bien ce sont de grandes tentes, sur plateforme. Ou de petits chalets. L’atmosphère change de l’une à l’autre. Et les conditions aussi un peu. La cuisine est adaptée aux voyageurs, mais elle donne une bonne idée de ce sur quoi s’entendent les Éthiopiens et les autres : les frites, les spaghettis, les pancakes. Autour du jardin : terre ocre, végétation accrocheuse, grandes vaches grises allant d’un pas lent, poussées par les bouviers. Une nature sans fioritures.
Au programme - Rencontres avec deux peuples du Sud. Accompagnés par un guide anglophone local, vous allez jusqu’au village Karo de Korcho. Quelques cabanes de tôle sont disséminées parmi les tukuls et enclos traditionnels. Les Karo sont un petit peuple d’éleveurs. Une position reculée dans la vallée de l’Omo leur a permis de conserver longtemps le mode de vie ancestral. Ils doivent désormais faire avec le monde. Qui admire notamment leurs peintures et parures corporelles. On sait peu de choses du passé des Hamer. Leurs mythes évoquent l’installation sur ces terres, parmi d’autres groupes. De nos jours, ils sont pasteurs (et agriculteurs). Le bétail – vaches, moutons, chèvres et désormais chameaux – tient un grande place dans leur vie sociale et rituelle. Ce sont aussi des esthètes, qui font de la parure l’un des beaux-arts. Le monde les a repérés depuis un certain temps et ils s’y adaptent, cherchant l’équilibre entre leur héritage culturel et la curiosité qu’ils suscitent. Parlez-en avec eux.
Route pour Jinka, chef-lieu de l’Ari. Nuit dans la partie ouest de la ville. Le petit domaine a un aspect nature. Des chalets, des tentes sous un couvert de résineux. Les installations sont simples. Dans votre particulier, vous disposez de ce qu’il faut. Et la massage room est bienvenue à ce stade du voyage. Le restaurant sert classiques éthiopiens et plats internationaux. C’est agréable, d’abord parce que c’est franc : on ne cherche pas à vous en mettre plein des yeux à bon compte. On fait les choses le mieux possible avec les moyens dont on dispose. Du coup, c’est bon. Ensuite, on va s’asseoir dans le jardin, écouter les oiseaux.
Jinka est un bourg de commerce, disposant d’un aéroport, Baco. C’est aussi le siège du South Omo Research Center, dont le musée documente à l’aide de nombreux objets la vie des peuples de la basse vallée de l’Omo.
Route pour l’aéroport, puis vol pour Addis Abeba. Transfert. Une chambre est à votre disposition à l’hôtel que vous connaissez déjà.
Au programme - Un dîner traditionnel. Le rassemblement, sur une large galette d’injera, des mijotages emblématiques de la cuisine éthiopienne est l’un des meilleurs au revoir que puisse vous adresser le pays.
Transfert à l’aéroport, puis vol retour dans la nuit. Arrivée le lendemain.
Chaque jour, nos spécialistes composent des expériences personnalisées selon le profil, les envies et le budget de chaque voyageur. Ces passionnés façonnent des expériences relayées sur place par un réseau local de concierges et de contacts privilégiés. Modulables à l’envie, ces voyages à la carte s’accompagnent d’une vaste gamme de services haut de gamme (lounges, assistance 24/7, carnet de voyage, appli, wifi nomade, réservation de tables…).
Faites créer votre voyage
Voyager en toute liberté selon ses envies,
ses idées, ses passions
250 conseillers spécialisés par pays et par régions : Amoureux du beau jamais à court d’idées, ils vous inspirent et créent un voyage ultra-personnalisé : étapes, hébergements, ateliers, rencontres…
À votre écoute : conseiller dédié, conciergerie francophone, assistance 24h/24, nos équipes vous suivent et adaptent en temps réel, pour un voyage à la fois libre et bien accompagné.
En famille, à deux, à dix, en road trip, en train, en bateau, en week-end, en tour du monde... : des voyages personnalisables à l’envi, bordés de services malins, pour voyager avec toujours plus de fluidité.