Voyage en Chine et au Tibet : de Pékin à Lhassa - Voyageurs du Monde

Idée voyage 100% personnalisable

De Pékin à Lhassa Chine impériale et Tibet de haut vol

Chine - Pékin - Lhassa - Tsetang - Gyantse - Shigatse

Dragons et chevaux du vent

Suggestion de 15 jours de CHF 6800 à CHF 8700 selon saison, types d’hébergements et activités

Vous aimerez

  • L’une des capitales du monde et le cœur de la civilisation tibétaine dans un même voyage, pas moins
  • Aller de la cohue pékinoise aux grands espaces tibétains, aspects d’un Extrême-Orient à grand spectacle
  • La Cité interdite, la Grande Muraille, le Potala et le Jokhang, les plus grands sites du Tibet historique, c’est déjà prévu !
  • Appli mobile avec GPS, absorption carbone intégrale, conciergerie, les plus Voyageurs
La Cité interdite, la Grande Muraille, le Potala et le Jokhang ont été réunis par l’Unesco dans l’idée de patrimoine mondial. Ils appartiennent conjointement au plus significatif des réalisations humaines. Ce n’est pas rien et votre voyage en est situé à haut niveau, quelle que soit l’altitude des étapes. La première est donc Pékin. Trois jours permettent d’en approcher les sites patrimoniaux emblématiques et d’en mesurer la démesure de mégalopole contemporaine. En outre, on réalise vite qu’il y a aussi un Pékin à petite échelle, un Pékin de quartier, dont les habitants entretiennent l’esprit avec une réjouissante liberté de ton. Cela se sent, même si c’est dit en chinois. L’excursus à la Grande Muraille est de rigueur. Ensuite, envol - puisqu’il faut monter - vers le Tibet. Certains monuments, par leur situation, leur ampleur, leur histoire et quelque chose qui ne s’explique pas, déclenchent une émotion spéciale. Ainsi le Potala de Lhassa. Celui-ci, les temples qui l’entourent, plus ceux de (et entre) Tsetang, Gyantse, Shigatse, vous conduisent au cœur de la civilisation bouddhique tibétaine. Votre équipée vous conduit, à travers le modelé puissant de l’Ü-Tsang, vers les temples et monastères autour desquels le destin du Tibet s’est noué. La fréquentation de ces sanctuaires marque la profondeur de leur influence. Ils sont toujours des centres d’art et de culture. Et puis, il n’y a pas que des circumambulations et les tankas dans la vie des Tibétains, il y a la table aussi. La cuisine du pays est beaucoup plus variée, originale et séduisante qu’on l’imaginerait sans doute. Après celle de Pékin, elle donne au voyage une saveur particulière.

Votre voyage


Si le niveau de vos hôtels est assez homogène, c’est que de ce point de vue les choses s’améliorent au Tibet. À Pékin, dans un hutong réhabilité, on ne s’étonne pas de bonnes conditions. À Lhassa, non plus. Très jolie adresse, soit dit en passant. Ailleurs, c’est tout à fait convenable. Le professionnalisme s’installe. Finie l’approximation. La récupération y gagne. Hors vols nécessaires, les liaisons se font avec un chauffeur particulier et, au Tibet, un guide anglophone privé. Sur les sites, des guides spécifiques partout où c’est nécessaires. De la Cité interdite au Potala, aux grands monastères et aux grottes du Tibet méridional, les visites inscrites à votre feuille de route vous conduisent en des lieux chargés d’histoire, d’art et de symboles à ras bord. Les longs aléas des relations sino-tibétaines s’y éclairent un peu. Et que dire des paysages superlatifs que vous allez parcourir ! Le tempo des étapes a été mesuré afin que le voyage ait du rythme, mais ne soit pas un contre-la-montre. Vous avez partout le temps d’appréhender les choses. De vous imprégner de l’esprit des lieux. D’en profiter. À Lhassa, on s’adapte en douceur à l’altitude. Ensuite, cela va naturellement. Et si, chemin faisant, un désir imprévu, ou un léger contretemps survenait, vous disposez pour y répondre des coordonnées de notre service de conciergerie sur place.
Palais du Potala - Lhassa - Tibet © setimino/Getty Images/iStockphoto
Palais du Potala - Lhassa - Tibet © setimino/Getty Images/iStockphoto
Lhassa - Tibet © René Limbourg/Picturetank
Lhassa - Tibet © René Limbourg/Picturetank
En route vers Gantzé - Col de Yurula - Tibet oriental © Matthieu Ricard
En route vers Gantzé - Col de Yurula - Tibet oriental © Matthieu Ricard
Joutes oratoire au Monastère de Dzongsar - Tibet © Matthieu Ricard
Joutes oratoire au Monastère de Dzongsar - Tibet © Matthieu Ricard
Imprimerie de Dergué - Tibet Oriental © Matthieu Ricard
Imprimerie de Dergué - Tibet Oriental © Matthieu Ricard
Samye - Tsetang - Tibet © Janine Renard
Samye - Tsetang - Tibet © Janine Renard
Tibet © Pavel Dvorak/stock.adobe.com
Tibet © Pavel Dvorak/stock.adobe.com
Lac Namtso - Tibet © muyeeting/Fotolia
Lac Namtso - Tibet © muyeeting/Fotolia
Tibet © kichigin19/stock.adobe.com
Tibet © kichigin19/stock.adobe.com
Tibet © Romain Degoul/REA
Tibet © Romain Degoul/REA
Forteresse de Gyantsé - Tibet © Laurent Vivier / Fotolia.com
Forteresse de Gyantsé - Tibet © Laurent Vivier / Fotolia.com
Tibet © Tony Law/REDUX-REA
Tibet © Tony Law/REDUX-REA
Gyantsé - Tibet © Bartosz Hadyniak/Getty Images/iStockphoto
Gyantsé - Tibet © Bartosz Hadyniak/Getty Images/iStockphoto
Collège philosophique de Sinda - Tibet oriental © Matthieu Ricard
Collège philosophique de Sinda - Tibet oriental © Matthieu Ricard
Gyantsé - Tibet © SteveAllenPhoto/Getty Images/iStock
Gyantsé - Tibet © SteveAllenPhoto/Getty Images/iStock
Tibet © Matthieu Ricard
Tibet © Matthieu Ricard

Itinéraire

Suggestion 100% personnalisable selon vos envies

Transfert avec un guide francophone. Installation pour trois nuits dans l’ancien hutong Yanle, dont l’origine est pluri-centenaire. On se trouve donc dans ce qui reste du vieux Pékin. Dans le siheyuan - la demeure - les bâtiments sont classiquement disposés autour d’une cour carrée. Tons gris, comme de juste. L’ensemble a été joliment restauré. Votre grande chambre est bien équipée et confortable. Elle associe motifs traditionnels et traits allogènes, mais l’atmosphère en demeure bien pékinoise. Aux heures favorables, il est tout à fait agréable de se tenir dans la cour ou sur la terrasse rooftop (d’altitude modérée). Sur place, un restaurant : cuisine chinoise, on s’y met sans attendre. Et un bar. Pour les balades dans le quartier, l’établissement loue des vélos.
En option - Le temple du Ciel, direct.

Au programme - La place Tian’anmen et la Cité interdite. La très vaste esplanade désoriente un peu. Voyons, il y a la porte de la Paix céleste, le mausolée de Mao, le monument aux Héros du Peuple, mais il est bon que le guide francophone privé rappelle les grands évènements qui se sont déroulés là : mouvement du 4 mai 1919 ; proclamation de la République populaire, 1er octobre 1949 ; lancement de la Révolution culturelle, 18 août 1966. Et d’autres, et non des moindres. Les masses, que l’on mobilise, ou qui se mobilisent, se rassemblent place Tian’anmen. La Cité interdite ne l’est plus. L’ancien palais des empereurs est désormais un musée, dont la fonction est de rappeler la grandeur de la civilisation chinoise. Par l’ampleur, la noblesse, la consistance de la conception, la splendeur des collections, il y parvient sans peine. Centre névralgique des empires Ming et Qing, mais aussi monde en soi, c’est une réalisation dont il est difficile de prendre la pleine mesure. Elle conserve une large part de mystère, dont elle offre la virtualité à l’imagination des visiteurs.
En option - Canard laqué pékinois.

Au programme - La Grande Muraille à Mutianyu. Avec un chauffeur, virée à la Grande Muraille. 70 kilomètres - 140 lis - au nord-ouest de Pékin, le tronçon de Mutianyu est l’un des mieux construits et conservés (accès facile en télécabine). Dans sa forme actuelle, il date du XVIe siècle, dynastie Ming. Une fois monté au créneau, on se promène ; des tours de guet, on observe les alentours moutonnants et le dense couvert forestier, propice sans doute aux infiltrations barbares. Pas d’invasion à craindre aujourd’hui ; on peut donc rentrer, en empruntant, sur un chariot à roulettes, un long toboggan. On aura remarqué que les ingénieurs qui l’on conçue ont crénelé la muraille vers l’extérieur, mais encore vers l’intérieur. D’ici à penser que les barrières de sécurité concernent ceux qu’elles protègent autant que ceux dont elles protègent !

Transfert à l’aéroport. Vol pour Lhassa, 3650 m. Transfert. Installation pour trois nuits dans un hôtel qui regarde la Potala. Et semble y puiser un partie de son inspiration. Vous y trouvez en effet comme une revue de l’artisanat d’art tibétain, à commencer par un très beau travail du bois, la dinanderie, le tissage. Cela donne un ton. Une esthétique. Les chambres sont bien équipées, et confortables. L’équilibre entre tradition et équipement moderne tient. Un plancher soigneusement entretenu est, soit dit en passant, le plus agréable sol possible. Les tons sont naturels (dans les parties communes, la palette s’émancipe). Le restaurant maison prépare une cuisine d’abord tibétaine ; savoureuse occasion d’essayer par exemple une fameuse saucisse de yak ou le tartare tibétain.

Au programme - Le Potala, en privé. Les deux éléments principaux de la célébrissime forteresse qui domine Lhassa sont le palais blanc et le palais rouge. Les dalaï-lamas habitaient le premier, lequel abritait aussi les organes civils du gouvernement. Le second, dédale de chapelles et de bibliothèques, était dévolu aux activités religieuses. En dépit des avanies, le Potala abrite encore des merveilles artistiques. Des tankas admirables notamment. La visite de ce chef-d’œuvre d’architecture himalayenne est particulièrement émouvante et invite, autant que le palais de Versailles, à une méditation sur la politique, les arts et le sacré. Dans les pas des pèlerins, on se rend sur le mont Chakpori (où fut établie une importante école monastique de médecine traditionnelle) pour admirer des sculptures polychromes anciennes. Quant au Norbulingka, c’est un complexe de jardins, de palais et de temples, dont la construction a commencé en 1751. Le domaine a servi de résidence d’été aux dalaï-lamas jusqu’au départ de Tenzin Gyatso en 1959. Bassins, bosquets, vergers : l’endroit le plus agréable de Lhassa. Un guide anglophone accompagne la journée.

Au programme - Le Jokhang, en privé. Premier temple bouddhiste établi au Tibet, le Jokhang est un pèlerinage majeur. Il abrite un Jowo Sakyamuni, statue en bronze doré du Bouddha adolescent. Laquelle fut apportée par l’une des épouses du roi Songtsen Gampo : soit la Chinoise Wencheng, soit la Népalaise Bhrikuti, cofondatrices du monastère au VIIe siècle. On rencontre ensuite des nonnes bouddhistes à la main verte, à en juger par le ravissant fleurissement de leur couvent. Elles tiennent un petit restaurant, où il fait bon boire le thé en dégustant des momo, les ravioles tibétaines. Bien réconforté, in va au monastère de Séra, XVe siècle, faculté gelugpa de renom. Les moines y pratiquent encore une disputatio, qui ne peut manquer de faire penser à celle qui avait cours dans les universités médiévales en Europe. Un guide anglophone accompagne la journée.

Transfert à Tsetang, 3100 m. À 160 km au sud-est de Lhassa, dans la haute vallée du Yarlung Tsangpo / Brahmapoutre, cette ville est l’ancienne capitale de la dynastie Yarlung - du IIe siècle avant JC au IXe après - sous laquelle eurent donc lieu les premiers contacts entre le Tibet et le bouddhisme. Au cours de ce voyage aux origine de l’État, on visite en particulier le Yumbu Lhakhang, résidence royale, puis monastère gelugpa ; mis à mal par la Révolution culturelle, il a été relevé dans les années 1980. On voit aussi le vénérable monastère Tradruk, qui possède, entre autres trésors, un tanka que la princesse Wencheng aurait, de ses propres mains, brodé de perles.
Installation pour deux nuits dans un établissement moderne. Le style est sino-international avec ornementation tibétaine. Au demeurant, ce n’est pas mal fait. Les chambres sont convenablement équipées et confortables. Le petit déjeuner est servi sur place.

Au programme - Grottes de méditation et monastère de Samyé. Les visites d’aujourd’hui tournent autour de l’une des racines du bouddhisme tibétain : Padmasambhava. Ce guru pakistanais, appelé au Tibet par le roi Trisong Detsen vers 750, aurait fait traduire les écritures bouddhiques en tibétain. Il aurait aussi médité dans l’une des grottes que l’on visite. Où des moines se retirent encore afin de se disposer à la compassion. Samyé aurait été fondé par Padmasambhava. C’est la maison-mère de l’école tantrique nyingma. Il est construit en forme de mandala, une représentation du cosmos dont le temple principal - figurant le mont mythique Meru - est l’axe. Dans cet édifice remarquable, les styles indien, tibétain et chinois se superposent. À l’entrée, une stèle de Trisong Detsen proclame, l’année d’achèvement du temple, le bouddhisme religion d’État. C’est ici qu’il aurait été décidé que le Tibet suivrait la voie gradualiste indienne plutôt que l’illuminisme chan. Un guide anglophone privé accompagne la journée.

Transfert à Gyantse, 3977 m. On passe deux cols : Gampa-La, 4794 m, au-dessus des eaux bleues du lac Yamdrok-Tso, et Karo-La, 5020 m, d’où la vue est époustouflante sur le massif du Noijin Kangsang. Au passage, visite du monastère drukpa Ralung, fondé au XIIe siècle. Bonnets rouges. C’est le 18e abbé de Ralung, Ngawang Namgyal, qui, au XVIIe siècle, a jeté les bases de l’État du Bhoutan.
À Gyantse, les vieille rues qui sont au pied du dzong, la citadelle, valent une promenade. Nuit dans un hôtel moderne, dont le style tibétain ne se refuse pas le décorum. Les parties communes sont rutilantes. Les chambres sont plus raisonnables, bien équipées et confortables. Le petit déjeuner est servi sur place.

Avant de quitter Gyantse, on se rend au monastère de Palcho, où est le plus grand kumbum du pays. Ce stupa du XVe siècle, de style népalais, renferme 77 chapelles décorées d’un splendide ensemble de peintures murales. Le monastère possède aussi un mur à tanka, sur lequel des peintures monumentales sont exposées l’été.
Transfert à Shigatse, 3836 m. Nuit dans un établissement récent. La décoration a su raison garder, même si elle ne recule pas devant les couleurs cash et le bois sculpté néotraditionnel. Les chambres sont confortables et adornées chacune de peintures illustrant l’épopée tibéto-mongole du Roi Gesar. La carte du restaurant est éclectique, ce qui n’est pas un défaut. On trouve une agréable maison de thé sur le toit de l’établissement. Et puis, le service est tout à fait gentil.
Au programme - Visite du monastère de Tashilhunpo. C’est le premier dalaï-lama qui a fondé Tashilhunpo, en 1447. Les abbés en furent nommés panchen - grand érudit. La lignée de réincarnation des panchen-lamas commence avec le quinzième d’entre eux, au XVIIe siècle. Depuis, ils ont le deuxième rang dans la hiérarchie politico-religieuse tibétaine. Les œuvres d’art sacré conservées ici rivalisent bien souvent avec celles que l’on peut voir au Potala. On emprunte le lingkhor, le chemin dévotionnel, pour réaliser la circumambulation du monastère. Stop aussi sur un marché, pas envahi de produits manufacturés chinois, et dans un atelier de fabrication de tapis. Un guide anglophone privé accompagne la sortie.

En quittant Shigatse, visite aux vestiges du monastère de Narthang, fondé au XIIe siècle. C’est un lieu emblématique des convulsions politiques du XXe siècle : pendant la Révolution culturelle, les gardes rouges ont démantelé ce qui fut des lustres la principale imprimerie du canon bouddhique en tibétain. Le Petit Livre rouge a balayé un trésor de blocs xylographiques.
Transfert à Lhassa. Installation pour deux nuits dans l’hôtel d’arrivée.

Au programme - Drak Yerpa. La vallée de Yerpa, un peu au nord-est de Lhassa est chargée d’énergie spirituelle. Les premiers aménagements de grotte en vue de la méditation seraient prébouddhiques. Par la suite, ermitages, temples, couvents se sont multipliés. Toutes les phases de l’histoire du bouddhisme tibétain ont eu ici des échos. D’ailleurs, les légendes de fondation de la religion nationale y font étape. Et c’est aussi, avec ses arrière-plans de haute montagne, l’ample mouvement de la vallée, les chantournements du calcaire, les petits villages, les troupeaux de yaks, les monastères subsistant (ou neufs), un formidable paysage tibétain. L’un de ceux, sans aucun doute, pour lesquels on est venu. Un guide anglophone privé accompagne la journée.

Transfert à l’aéroport. Vol pour Pékin, puis vol de retour.

À la carte

Cette suggestion de voyage reste personnalisable dans les moindres détails : durée, étapes, contenu. Un menu d’expériences à la carte est également disponible pour créer le voyage qui vous ressemble.

Pékin - Le temple du Ciel, direct


Édifié au XVe siècle, sous les Ming, le temple du Ciel est sans doute le sanctuaire impérial par excellence. L’empereur ayant reçu un mandat céleste, l’instituant intermédiaire entre le Ciel et la terre, et chargé à ce titre d’harmoniser celle-ci et celui-là (ordre dont la bonne récolte était le signe). C’est donc entrer en Chine par la voie royale que de se rendre directement de l’aéroport à Xuanwu. On se met dans le bain d’emblée et la majesté des grandes rotondes sur leurs terrasses de marbre efface la fatigue du vol.

Pékin - Canard laqué pékinois


On en conviendra, il arrive que des plats s’améliorent en voyageant. Ce n’est pas le cas du canard laqué pékinois. Qui est une culture, un savoir-faire, une atmosphère. Ici, l’atmosphère est mi-classique mi-indus. Ce qui donne de la netteté. Le savoir-faire est un héritage, avec le souci de s’en montrer digne. La culture allant elle du volatile aux manières de table. Aussi doit-on impérativement manger ce plat, et dans la capitale svp afin de pouvoir en parler. Pourquoi doit-on ? Parce qu’on doit manger une choucroute à Strasbourg, des callos à Madrid ou une Currywurst à Berlin. Question de pertinence. On réserve donc pour vous.

Avec quelques jours de plus - Tibet, le camp de base de l’Everest / Chomo Lungma


En partant de Shigatse, on peut, à bord d'un véhicule adapté, gagner le camp de base de l’Everest. L’aventure est donc possible pour d’autres que les trekkeurs. C’est la garantie de paysages de montagne à couper le souffle et l’impression de toucher vraiment au toit du monde. On ne se refuse pas de telles choses lorsqu’elles sont à portée. En passant, on peut visiter le monastère le plus haut du Tibet : Rongbuk. Fondé au début du XXe siècle, les moines y ont longtemps prié pour que les insensés alpinistes revienne de leur folie escaladante.

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Budget estimé

selon saison, types d’hébergements et activités

Le budget estimé pour ce voyage est de CHF 6 800 à CHF 8 700/personne.

Parler de prix fixe lorsque l'on évoque un voyage sur mesure a peu de sens. En effet, celui-ci varie suivant de nombreux facteurs (niveau de prestations, période, délai de réservation et bien d'autres encore). Le seul prix exact sera celui de votre devis personnalisé.

Le prix moyen constaté pour ce voyage est de CHF 7 900/personne.

Inclus dans cette suggestion

  • Le vol international sur compagnie régulière
  • Le vol aller et retour Pékin / Lhassa
  • Les taxes aériennes et surcharge carburant
  • La contribution à l’absorption des émissions de co2 de votre voyage grâce à des projets de reforestation (par le biais de notre Philippe Romero Insolite Batisseur Foundation)
  • Formalités prioritaires et accès au salon Extime à Roissy
  • Les transferts, privés ; au Tibet, un guide anglophone privé accompagne les transferts
  • Les 3 nuits à Pékin, en chambre double, avec les petits déjeuners
  • Les 5 nuits à Lhassa, en chambre double avec les petits déjeuners
  • Les 2 nuits à Tsetang, en chambre double, avec les petits déjeuners
  • La nuit à Gyantse, en chambre double, avec le petit déjeuner
  • La nuit à Shigatse, en chambre double, avec le petit déjeuner
  • À Pékin, la place Tian’anmen et la Cité interdite, avec un guide francophone privé
  • Une journée à la Grande Muraille, avec un chauffeur privé
  • Au Tibet, toutes les visites prévues pendant les transferts, avec le guide anglophone privé
  • À Lhassa, le Potala et le Norbulingka, le Jokhang et le monastère de Séra, la vallée de Yerpa, avec des guides anglophones privés
  • À Tsetang, grottes de méditation et monastère de Samyé, avec un guide anglophone privé
  • À Shigatse, le monastère de Tashilhunpo, avec un guide anglophone privé
  • Le visa chinois et le permis de circuler au Tibet
  • Notre service conciergerie sur place
  • Notre service de télémédecine
  • L’accès au wifi pendant votre voyage : un mini routeur international ou une eSIM vous permettant de vous connecter en wifi sur vos divers terminaux (mobiles, tablettes, ordinateurs)
  • Nos recommandations et la réservation de certains restaurants
  • Un carnet de voyage rassemblant de nombreuses informations utiles (votre programme jour par jour, les coordonnées de vos hôtels, une sélection de bonnes adresses personnalisées et géolocalisées, etc.), disponible également sous forme d’application mobile
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